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Congyu Wang, un jeune pianiste lumineux 

Il n’a que vingt ans, et dix-sept ans d’étude du piano derrière lui. Il a ouvert samedi de façon magistrale les 13e Rencontres musicales de La Verrerie. 

Congyu Wang a fait montre de façon lumineuse de son immense talent de pianisite, faisant vivre des moments extraordinaires à l’auditoire. Sa maitrise de l’instrument est impressionnante. Il est vrai que le jeune pianiste singapourien a été à bonne école ces dernières années se perfectionnant dès 2008, grâce à une bourse d’étude pour la prestigieuse école normale de musique de Paris Alfred Cortot, auprès de deux pianistes de renom, Jean-Marc Luisada et Odile Catelin-Delangle. 

À la suit, il intègrera la Schola Cantorum pour approfondir encore ses connaissances auprès de l’unique élève de Francis Poulenc, Gabriel Tachino. Samedi, son interprétation splendide et délicate de l’Improvisation 5 de Francis Poulenc a ébloui. 

Il avait ouvert le concert sur le Prélude 5 et l’Étude numéro 5, Pour les octaves de Claude Debussy interprétant ces œuvres avec une virtuosité impressionnante. 

La nocturnes Op.33 numéro 3 de Fauré achevait de convaincre par un jeu lége et tout en finesse. En deuxième partie, le pianiste mit à l’honneur quatre compositions de Chopin dont il connaît les intégrales à la perfection, comme celles de Poulenc. Un pianiste lumineux d’aisance. 

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